Il est minuit moins quinze secondes à Ottawa

À cause de l'urgence de la situation, Serge Monast fut obligé de rédiger cet ouvrage en huit semaines, à une moyenne de 14 heures de travail par jour, 7 jours par semaine, et cela dans des conditions de clandestinité presque totales  digne des meilleurs romans ou films d'espionnage. Pourquoi de telles conditions de travail dans un pays supposément démocratique ? À cause justement des divers « coups montés » mis en oeuvre par la Police fédérale ainsi que par d'autres corps policiers provinciaux qui, avec un acharnement digne du « KBG soviétique », ont absolument tout fait pour faire passer Monast pour un vulgaire criminel et tenter de le discréditer, de l'empêcher de communiquer des informations (présentes dans ce livre) incriminantes pour le « Pouvoir politique » en place, et donc par la force des choses, le mettre hors d'état de nuire ! Mais « hors d'état de nuire » pour qui exactement ? Se laisser lentement envahir par la peur au point de nier toutes les preuves et évidences apportées dans ces pages revient d'une part à condamner ce volume et son contenu au pire des silences et d'autre part à se diriger tout droit, en tant que peuple, vers une destruction assurée et vers une disparition à plus ou moyen terme. L'Histoire jugera plus durement un peuple parvenu à sa disparition si celui-ci devait aboutir à un tel état de dévastation plutôt par lâcheté que par ignorance ! D'ici peu de temps, aucun pouvoir politique local, ni même international, n'arrivera à stabiliser quelque situation que ce soit. Aucun homme politique ni aucun régime ne pourra se maintenir et l'humanité risquera de sombrer vers son triste destin : l'accomplissement d'un « Nouvel Ordre Mondial ».